Cette année encore, le festival Prise de CirQ’, porté par l’association CirQ’ônflex, se déroulera en deux temps, avec un premier volet au printemps et un second durant l’été. Si l’édition estivale de Prise de CirQ’ sera plus conséquente que l’an dernier, le premier rendez-vous du printemps proposera trois temps forts à Dijon et Quetigny.
Le festival débutera le 18 avril sur une mise en avant des écoles de cirque régionales au Théâtre Mansart, l’école de cirque Or piste et le festival ayant invité plusieurs jeunes circassiens amateurs. Place ensuite aux professionnels dès les 19 et 20 avril avec les portés acrobatiques du Collectif PourquoiPas, à l’Espace Mendès-France de Quetigny avec Ceci n’est pas un exercice.
Aux mêmes dates, au Jardin de l’Arquebuse, la cie dijonnaise La Migration interrogera le paysage en se basant sur la pensée éco-féministe. Women weave the land, « cirque en paysage » qui voit sa scénographie tissée de fils de lin, accrochés à un agrès cinétique, hexagone accueillant quatre acrobates femmes et une musicienne. Ces dernières font référence à plusieurs personnages féminins de l’Odyssée. Retour au Théâtre Mansart les 21 et 22 avril avec Time To Tell, un temps de jonglage contemporain où Martin Palisse évoquera sa maladie, la pièce allant aussi dans le champ du théâtre.
Prise de CirQ’ – Premier volet, Dijon et Quetigny (divers lieux), du 18 au 22 avril
Programme et horaires : https://cirqonflex.fr/